Les communes doivent faire face depuis plusieurs années à un défi d’envergure introduit avec la réforme des rythmes scolaires : la programmation de temps d’activité périscolaire. Ces derniers doivent être construits en cohérence avec les programmes scolaires et nécessitent une organisation bien spécifique souvent difficile à mettre en œuvre. Pour mettre en place ces animations conformément à ce qui est défini dans la loi, les communes avec la participation des écoles peuvent faire appel à des associations d’éducation populaire, mais elles peuvent aussi se tourner dorénavant vers des sociétés spécialisées. Celles-ci ont créé des ateliers périscolaires pouvant répondre à toutes les attentes et s’adapter aussi bien à l’âge des enfants qu’aux objectifs pédagogiques définis en étroite collaboration avec les enseignants.
La réforme du temps scolaire
La question des rythmes scolaires a longtemps été sujette à polémique, le rythme devant trouver un équilibre entre les temps dédiés à l’apprentissage et les moments de temps libre lors desquels l’enfant peut apprendre de nouvelles choses en-dehors de sa scolarité, mais tout aussi importantes par le biais de la pratique d’une activité sportive ou culturelle. Ce dernier élément donnant lieu à de grandes différences entre les enfants en fonction du milieu socio-culturel des parents et de leurs moyens financiers. Le législateur devait donc tenter de remédier à cette problématique pour rétablir l’égalité républicaine. L’organisation du temps scolaire a ainsi été largement modifiée au cours des dernières années, en 2008 une réforme a instauré la semaine de 4 jours, réforme revue en 2013 pour revenir à la semaine de 4 jours et demi afin d’étaler les apprentissages sur 5 matinées. Ce dernier aménagement a ainsi libéré du temps en fin de journée devant être consacrée à une activité périscolaire dont l’organisation a été déléguée aux communes et municipalités. Il est à noter que cette activité périscolaire peut également prendre place lors d’une demi-journée suite à un assouplissement en 2014.
Proposer des activités ludiques et éducatives
En-dehors de la question purement logistique et financière liée à ces temps d’activités périscolaires, il est essentiel pour les communes et les municipalités en charge de l’organisation de ces temps de trouver des activités porteuses de sens dont les élèves comme les enseignants pourront s’emparer pleinement. Dans ce cadre, les ateliers périscolaires conçus par certaines sociétés spécialisées peuvent parfaitement répondre aux attentes. En effet, ces derniers sont élaborés avec un sens certain de la pédagogie afin d’intéresser les enfants tout en abordant des thématiques pouvant sembler plutôt rébarbatives à la base comme les sciences de façon générale. Grâce à ces ateliers, les enfants s’amuseront tout en s’initiant aux sciences, la physique, la chimie ou encore le fonctionnement du corps humain, ou en étant sensibilisés à l’environnement avec des ateliers centrés sur les plantes, les animaux ou encore les phénomènes météorologiques. Toutes ces thématiques peuvent pleinement s’inscrire dans la continuité des enseignements reçus à l’école.
Des ateliers adaptables et adaptés
L’organisation des temps d’activité périscolaire peut être complexe à mettre en œuvre. Conscientes des difficultés que cela peut représenter, les sociétés concevant des ateliers périscolaires sont en mesure d’élaborer des programmes allant de 6 à 35 séances pour trouver leur place sur des périodes inter-vacances, trimestrielles ou encore tout au long de l’année. De plus, le contenu de ces ateliers peut être adapté en collaboration avec les enseignants au sein des écoles afin d’être complémentaire des programmes scolaires et cohérent avec ces derniers en abordant des thématiques proches sous un autre angle pour faire progresser les enfants de façon ludique. Enfin, l’organisation professionnelle de ces ateliers avec des animateurs compétents et formés fournissant tout le matériel nécessaire est un véritable gage de qualité que chacun ne pourra qu’apprécier.